Sur le boulevard Brandenburg au n°128 juste avant la place Mareilhac, mes parents avaient une charcuterie-épicerie et sur la place il y avait également une boulangerie « Darguence », le bar chez odette et une mercerie tenue par Mme Lacoste. Au 126 du boulevard, il y avait un bar qui est devenu vers 1976 un cabaret oriental « le mille et une nuits ».
Michel Orreteguy
En photo : thermomètre donnés par mes parents aux clients lors des fêtes de fin d’année vers 1967-68
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