Une crèche et un dispensaire existaient dans l’une des ailes (côté rue Charlevoix de Villers) des bâtiments de Buscaillet (architecte Pierre Ferret) inaugurés en 1937 par le maire d’alors, Adrien Marquet. Dans les années 1950, la directrice était Monique Barthe et le médecin, le docteur Ripoll. Paulette Quinoman travaillait et habitait dans la crèche. Son mari, Pierre, en était le concierge. Leur fille Monique, devenue Corbel, s’en souvient, comme elle se souvient qu’ils en sont partis en 1957, que son père travailla alors à la bibliothèque Mably puis qu’ils furent relogés à la cité Claveau. Le plan du secteur, probablement tracé entre 1938 et 1940, outre les deux ailes de Buscaillet, l’une abritant les bains-douches municipaux, l’autre la crèche et le dispensaire, montre l’emplacement de l’école des garçons Blanqui, l’impasse Mathilde adossée à l’enceinte de l’entrepôts des tabacs (que l’on ne voit pas sur ce détail du plan), les 6 « maisons Longwy », sortes de parallélépipèdes rectangles construits spécialement par l’usine pour ses ouvriers (à l’angle de la rue Blanqui et de la rue Charlevoix-de-Villers), la Cité Achard s’ouvrant sur la rue du même nom en face de l’église Saint-Rémy (orthographié ainsi sur le plan) pour aller se jeter dans la Garonne ; en face de la rue de New-York, côté Achard, on aperçoit une impasse dénommée rue de la Chapelle Saint-Louis. Toutes ces voies et bâtiments ont aujourd’hui disparu.La photo ci-dessous représente la classe de CM1 de l’école Achard en 1952 dans laquelle se trouve Monique Quinoman-Corbel ainsi que de nombreuses et très jolies Bacalanaises.
(Photos Monique Corbel)
Rue Dupre de St Maur
Rue Dupré de St Maur, quels tristes bacs à fleurs entourés de poubelles, détritus et voiture en épave depuis plusieurs semaines. C’est désolant. A quand une collecte de déchets efficace ? Denis Ségouin
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