En 1974, le quartier dit « Achard » (délimité par les bassins à flot au sud, la Garonne à l’est, le boulevard Brandenburg au nord, le boulevard Alfred-Daney à l’ouest) comptait 8 alimentations générales, 2 commerces de produits laitiers, 1 commerce de fruits, 7 boucheries et charcuteries, 1 poissonnier, 6 boulangeries et pâtisseries, 14 cafés, bars caves, 5 drogueries, quincailleries et magasins d’électroménagers, 4 merceries-bonneteries, 1 magasin de chaussures, 2 pharmacies, 2 stations-service, 1 magasin de chasse-pêche, 1 fleuriste, 1 papeterie, 1 bimbeloterie, 3 commerçants ambulants.
Au total et sans compter le secteur Labarde-Claveau, 59 commerces pour environ 5000 habitants.
Dans le même secteur, ces commerces étaient au nombre de 81 en 1962, de 76 en 1966 et de 78 en 1968.
Aujourd’hui, ils sont une quinzaine tout au plus, essentiellement concentrés dans la partie basse de la rue Achard.
Pour exemple, à l’emplacement de l’Amicale Laïque de Bacalan, avant même la pharmacie Haristoy, il y avait la quincaillerie Bion auquel a succédé son neveu Marsais.
Pour donner une idée de la rue Achard dans les années cinquante, on trouvait, dès le n°61, la charcuterie Dumur et, en descendant, un bar, un autre bar « Chez Moreau » à l’angle de la rue Delbos, le cabinet du docteur Hipoustéguy, la mercerie Eliane, le bar Fage après l’impasse Tirepoix, un dépôt de la quincaillerie Sentuc, une alimentation générale, « L’Aquitaine », le bar Baron avec la pharmacie Didier en face, la quincaillerie Sentuc à l’angle de la cité Pourmann, un fleuriste, les halles Labarthe, le salon de coiffure Dorval, un magasin de chaussures, l’épicerie Mocho à l’angle de la rue de New-York, un autre bar en face, un autre bar à l’angle de la rue Charlevoix-de-Villers et… ainsi de suite jusqu’au boulevard Brandenburg.
Rue Dupre de St Maur
Rue Dupré de St Maur, quels tristes bacs à fleurs entourés de poubelles, détritus et voiture en épave depuis plusieurs semaines. C’est désolant. A quand une collecte de déchets efficace ? Denis Ségouin
Dans les années 60, la rue Achard avait perdu quelques uns de ces commerces, ou ils s’étaient déplacés, mais je viens de faire une promenade à pieds de cette rue familière à mon enfance, c’est resourçant , nostalgique et très plaisant . J’ai revécu mes 10/11 ans , j’habitais au 33 rue Delbos !
Ma grand mère , Catherine werner fontaine avait le magasin de chaussures boulevard Brandebourg
Quelqu’un s’en souvient ?
Elle était pas commode
Et mes cousins c’est la famille Dauphin
Tonton Francois et tatie Mika
Hélène absin de cassiere la petite fille de Catherine et fille de Daniele fonta